Histoires gay sex de Darkcruising

Je me mis à avancer à quatre pattes vers lui. Mais arrivé à un moment la chaîne me bloqua. - Bien 1 mètre de la porte, ça va le faire. Il rentra dans la pièce, me reprit par le collier et me fit faire le tour de la pièce. Il pouvait me déplacer dans tous les coins. Il ressortit et enleva le mousqueton, puis tira sur la chaîne, ce qui m’obligea à me re-déplacer.

Certains me touchaient même, j'ai senti plusieurs claques sur mes fesses et des mains me tâter la bite quand elle se balançait en rythme avec mes pas. Car malgré l'sensation que je ressentais, j'étais excité comme jamais. C'était ma première vraie exhibition publique, et j'ai jamais autant bandé. Ça a confirmé mon goût pour les exhibitions forcées. Mon domi m'a dirigé vers une grande cabine où on est entré, suivi par une multitude d'hommes

Je les ai abordés et après quelques minutes de discussions, commencent à sentir que l' montait, je leur ai demandé de me rafraîchir en me pissant sur tout le corps car la chaleur était irrespirable. Ils ont tout de suite accepté, contents de pouvoir avoir une victime. Nous sommes allés dans un coin discret. En attendant que leurs vessies soient bien pleines, ils ont commencé à me cracher sur le visage tout en m'insultant, et en me piétinant de plus en plus fort avec leurs TN dont je m'étais proposé à leur décrasser. Tout cela à durer 5 minutes puis j'ai sniffe leurs ieps et leurs skets en même temps, kiffant ce beau mélange d'odeurs de males.

Il dégage à la fois douceur et domination. Il jette un œil sur le matos que j’ai sorti puis regarde vers moi et lance : - « On va commencer par t’équiper. T’es déjà en tenue, c’est parfait. » Il avance vers moi et attache un collier et une laisse à mon cou, il repousse mon dos vers le lit et tire mon jock vers le bas et commencé à m’installer une cage de chasteté. Soumis, obéissant, et souhaitant par dessus tout le satisfaire, je me laisse faire en attendant ses ordres. Une fois équipé, il se recule et me dit : - « Allez, à ta place ! À genoux devant moi. » Je me précipite à genoux à ses pieds et il commence direct à coller mon visage contre son paquet.

Il entre dans mon appart, cagoule noire, jogging noir, TN noires, 1m85, il se met devant moi, se racle bien fort la gorge quelques secondes, me regarde droit dans les yeux : « ouvre la bouche mais avale pas», et un gros mollard y atterrit, puis un deuxième et un troisième. « Avale mtn. ». J'avais jamais avalé autant de crachats d'un coup