Histoires de sexe

Salut, ce que je vais vous raconter là est une histoire vraie, même si ça fait carrément scenario…Et pourtant : J’étais à Paris pour un séminaire, grand hôtel, soirée champagne, costume cravate, bref, le taff. Comme je me faisais chier, je décide de me mettre à l’écart et de regarder si par hasard sur une app je pouvais reconnaitre un ou deux serveurs plutôt canons. A défaut de serveur je suis contacté par un profil qui me demande ce que je fous là avec mon profil de provincial et me dit : -« pic ? » -« oui, en directe ! » et je lui envoie une photo de moi en costard dans un fauteuil du bar de l’hôtel. Là-dessus, plus de réponse, et comme ces appli fonctionnent comme ça, je passe à autre chose et continue de passer de profil en profil en espérant que la soirée passe vite et que je puisse me branler dans ma chambre ! Enfin la délivrance, le PDG se casse et à je peux enfin m’éclipser. J’arrive dans ma chambre, je cherche un porno sur mon tel et là je vois une notification du mec à qui j’avais tchat. Il me disait : -Tu kiff koi, plan deprav ? BBK ? suis avec un pote, on taff dans un magasin, viens nous vider avec ton costard salope » Il faut dire que mon profil ne laisse que peu de doute à mon rôle durant un plan. Et avec une invitation pareil je ne pouvais que me déplacer. En guise de « magasin », le mec bossait dans un sexshop, ce qui rendait le plan encore plus excitant. Malgré tout un peu fébrile, je rentrais dans la boutique, et je demandais au mec derrière son comptoir si « BI Cho » était là ! Il me reconnait direct, et me demande si je suis chaud et si j’ai confiance…A cette question, je ne réfléchis pas ou plutôt si avec mon cul, et je lui dit que je suis grave chaud et « même pas peur ». Il se marre, sors de derriere son comptoir, ferme la boutique à clef, et me dit d’avancer au fond vers la porte incendie. Je l’ouvre, et je me retrouve dans une cour intérieure, étroite, qui pue la pisse, le pigeon parisien, et l’humidité. -« T’es ok, t es cho ? Alors fout cette cagoule ! Je vais t’attacher les mains sur la gouttière, j’ai un pote qui se chauffe en cabine, il va venir mais il est discret, faut pas que tu vois sa gueule. Ca te vas ? » Alors à ce moment suis carrément en transe, et d’un coup tout dans ce plan respire le sexe rude, et j’ai juste envie de me comporter en chienne. Et je me retrouve là, attaché, en chemise et cravate, une cagoule qui sent la transpiration sur la gueule et qui n’a pour orifice que celui de la bouche, et j’attends. La porte s’ouvre, le mec parle avec quelqu’un, et puis la porte se claque et plus rien. Plus de bruit, je devine que je suis seul comme un con dans une posture plus qu’embarrassante, dans un sexshop, sans veste (donc sans portable sans portefeuille) et je me dis que je suis mal barré. Au bout d’un laps de temps qui me parut fort long, la porte incendie s’ouvre et, je sens la présence de quelqu’un en face de moi sans pouvoir appréhender les distances. Et d’un coup une puissante main me colle à genou et une forte odeur de sueur mêlée d’urine me chatouille les narines. Aussitôt après un gland large vient rouler sur ma cagoule, s’amuse à descendre jusqu’à ma bouche disponible. Il n’en faut pas plus pour que je tente un coup de langue, mais un mec dont je ne reconnais pas la voie de mon hôte me dit -« Tu vas commencer par me la nettoyer avec ta langue de petite petasse » Je m’exécute et je lèche ce gland de mâle qui au mieux est passé à la douche le matin. Je stresse un peu, j’ai mal au genou, j’ai la bouche sèche, et le mec me crache un bon gros molard sur la gueule. Mais comme à priori ça ne suffit pas, il se recule un peu, et au bout de quelques secondes, je reçois un jet d’urine qui imbibe ma cagoule coule sur ma bouche, mes cuisses. Et il me dit sec : -« Ouvre ta gueule, et avale » Et voilà ma bouche pleine de sa pisse chaude, salée et j’avale non sans un réel dégout. Cela dit il avait raison, ma gueule est bien humide et il peut commencer à me la baiser… Suite bientôt