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Être un chien, devenir un chien, soit chien ! - 1
Histoire gay publiée le 14/09/2022
Avertissement Ceci est un phantasme que je voudrais réaliser et que je cherche depuis des années. Je vie en centre bretagne, me déplace sur 300 kms pour se dressage si suivi. Et si possible avec un agriculteur ou une personne ayant une maison/ferme isolée ou au calme pour pouvoir le réaliser dans de bonnes conditions vis-à-vis des maisons voisines. Il est réfléchi et ne concerne que ma vision de mon dressage. Il n’est en aucun cas une réalité actuelle (je ne le vis pas pour l’instant) et ne doit pas être réalisé sans le consentement réel des deux parties. Prologue La première rencontre avec le maître n’avait servi qu’à discuter. Certes, cela pouvait être frustrant, pour lui comme pour moi, mais c’était ma demande pour que l’on soit bien d’accord sur les attendus et les limites. Maintenant, que l’on était bien d’accord, le dressage pouvait commencer, et notre relation par là même se construire. On savait que les premières séances seraient plus ou moins ratés, pour lui comme pour moi. Il fallait un peu de temps pour trouver nos équilibres. Les objectifs, l’objectif était simple. Me transformer en chien sous et mange- obéissant, résigné et surtout heureux d’être résigné. Le commencement serait déjà l’apprentissage de la patiente. Pour mon dressage, en fait pour notre relation, j’étais l’instigateur, le détonateur et le metteur en scène. Du moins pour le début. Par la suite, hormis alimenter le maître de « possibilités », via des photos et vidéos hard trouvé sur le net pour données toujours de bonnes idées au maître, je ne serais plus que son objet sexuel . Donc, pour les premières séances, il me faudrait surtout apprendre la patiente. Être en attente du maître et de ces envies. Car mon dressage se ferait que sous la encouragement et dans la séquestration totale pendant chaque période où je serais chez le maître. Une fois à poil et équipé de mes chaînes et carcans, le maître me mettrais systématiquement dans la cave enchaînée court ou long, avec une couverture pour le début (ensuite si désobéissant sans rien). Une fois mon collier relié par une chaîne sur un point d’attache baiseolable (que je ne pourrais pas arracher, ni défaire) le maître me laisserait tout le temps ainsi. La chaîne serait juste assez longue pour qu’il puisse de temps en temps donner du mou pour me déplacer dans la cave, me suspendre, ou me faire travailler mon apprentissage canin. Certes, pour moi, cela allait être dur, physiquement et psychologiquement. Mais au final le plus dur était pour le maître. Car lui ne devait sous aucun prétexte (hormis blessures ou risque) me détacher. Une séquestration était une séquestration. Point 1ère fois. J’arrivais, et garais ma voiture. Je me rendais ensuite à la porte de la ferme et tapais. Pas de réponse. Je posais mon sac par terre et allais voir s’il était dans un de ces hangars ou aux bêtes. Je le trouvais dans son étable à s’occuper de ces vaches. Il releva la tête, sans s’arrêter de travailler. - Tu vas dans la cuisine et tu te prépares, j’arrive. Je fis demi-tour sans rien dire. Je récupérais mon sac et rentrais dans la cuisine. Je posais mon sac sur une chaise et le vidait sur la table en formica. La cuisine était sa pièce par défaut, elle donnait sur un petit couloir et sur d’autres pièces que je ne connaissais pas. Je me mis à poil. Je débutais ma préparation en mettant les clés des cadenas sur le haut du meuble, là où elles devaient être. Puis revint à ma place. Là, je commençais par me mettre les entraves de mes chevilles. Puis pour faire vite mon impossibilité de faire demi-tour, je passais une chaîne dans l’anneau métallique qui se trouvait derrière ma ceinture de chasteté. Puis j’accrochais cette chaîne que je liais avec la chaîne qui joignait mes chevilles, mes pattes arriérées. Cela me permettait en faisant glisser la chaîne dans l’anneau de pouvoir tendre une jambe, mais pour cela, j’étais obligé de plier complétement l’autre. Cette façon de m’attacher m’empêchait de me déplacer sur mes deux jambes, et rendait impossible toute fuite ou défense de ma part, de plus le maître pouvait à chaque instant via une manille réduire cette longueur. Ainsi déjà attaché, juste mes pattes arrière, je ne pouvais plus atteindre les clés sur le meuble haut. Ensuite, je mettais mon collier et mon « carcan » de cou que je m’étais fabriqué. Puis je sortis des caches yeux (des pansements) que j’avais achetés et que l’on mettait sur les yeux, de maniéré à ce que mon dressage se fasse totalement et toujours en aveugle. J’étais là dans l’impossibilité d’aller plus loin. Maintenant, il fallait que le maître finisse l’attache. Pour lui faire voir que j’étais bien cho, je me mettais les pinces aux seins avec un poids dessus. À quatre pattes, j’attendais le maître. Ma position n’était pas bonne, je le savais, mais c’était le premier jour du dressage. Je sniffais du Popper's régulièrement pour me donner du courage, et étais de plus en plus impatient que le maître vienne finir mon entrave. J’entendis au bout d’un moment le maître arriver. Il ouvrit la porte, et alla se laver les mains. Je sentais son regard, il devait m’observer. Se posait-il des questions ? Avait-il des doutes ? Dans quoi il s’embarquait ? Allait-il annuler, me demander de partir ? Mon cœur battait la chamade. Le Popper's aidant, l’excitation bien ancrée, mais aussi la peur d’un revirement. Il traîna une chaise près de moi, regarda mes affaires sur la table. Il savait comment les mettre en place. - Les pattes avant Mon cœur fit un bond, il acceptait de continuer. J’allais douillet, j’allais couiner, j’allais apprendre, j’allais…….. Je me mis de suite sur mes genoux et présentais mes pattes avant, mes mains. Il les enfourna dans mes moufles et les referma, puis il mit les menottes par-dessus pour que je ne puisse pas les enlever seul. Ensuite, il attacha les chaînes de mon entrave de cou sur chacune de mes pattes. Il tira un peu sur les poids qui pendaient via un élastique aux pinces aux seins. Il vérifia mes entraves des pattes arrière. Il m’enfila ma cagoule. - Ouvre ta gueule. Je m’exécutais. Il mit en place mon bâillon-boule qui tenait une durit longue, qui d’un bout était branchée sur un entonnoir et de l’autre passait dans les trous du bâillon et ressortait directement dans ma gorge. Ainsi entravé, j’étais totalement à ça merci. Là, il fallait que j’aie confiance, qu’il respecte mes limites et le dressage. Il me mit ensuite le collier électrique de dressage pour chien, puis sur la place restante, un collier étrangleur pour chien. Enfin, il ferma le bas de ma cagoule sur cet ensemble. Il passa sa main dans la petite chaîne du collier étrangleur et tira dessus d’un coup sec. Ce faisant, il me releva un peu. - Ne résiste pas, ne résiste jamais où je touche ! Cria-t-il de manière agressive. - Je vais faire en sorte que tu ai peur de moi, mais tu verras, tu vas aimer et en redemander, les futures mange- comme toi, c’est ça qu’ils leur faut. Il me fit avancer comme un chien que l’on traîne plus que l’on ne le tire. - Je t’ai préparé ta place dans une pièce d’un hangar, tu n’auras pas trop froid, mais surtout quand je commencerais à me servir de toi comme chiottes, je pourrais de laisser là-bas plein de . Il ouvrit la porte de la cuisine et me traîna jusqu’au hangar. L’ouvrit de sa main gauche, ne me relâchant pas de sa main droite ferme et agressive. Il continua à me traîner, actionna un interrupteur, puis ouvrit une porte en métal. Le sol était en béton. Il me traîna jusqu’à une couverture par terre, et me balança dessus. - Tu bouges pas. Il tira une chaîne qui passait à travers un gros anneau au mur, et l’accrocha avec un cadenas à mon collier. Il alla dehors et tira sur la chaîne qui était accroché dehors sur un poteau de béton, elle passait ensuite à travers un trou dans le mur, puis a travers plusieurs anneaux autour de la pièce. Il relâcha un mousqueton qui passait dans un anneau de la chaîne et un anneau au mur, pour donner toute sa longueur. - Avance vers moi, suis le son de ma voix. Je me mis à avancer à quatre pattes vers lui. Mais arrivé à un moment la chaîne me bloqua. - Bien 1 mètre de la porte, ça va le faire. Il rentra dans la pièce, me reprit par le collier et me fit faire le tour de la pièce. Il pouvait me déplacer dans tous les coins. Il ressortit et enleva le mousqueton, puis tira sur la chaîne, ce qui m’obligea à me re-déplacer. Jugeant que j’avais assez de mou, il remit le mousqueton en place. - Tu à deux seaux, un pour ta , un pour ton urine, tu mélanges pas les deux ou je frappe. Il s’approcha de moi et me mit une gifle qui me colla par terre. Il me reprit par le collier pour me remettre en place et me re-gifla. Il répéta le geste plusieurs fois. - Je vais bien te dresser, tu vas aimer. Le ton de sa voix était totalement différent que lorsque j’avais parlé avec lui. - Bien, je vais bouffer, et me reposer, car moi, je travaille mange , va falloir que je te trouve un nom de chien, mais quand tu seras dressé. Je reviens après te chauffer un peu, tu vas couiner. Il ressortit de la pièce, ferma la porte, j’entendis une clé tournée, i avais fermé la porte à clé. Il éteignit la lumière. J’entendais ces bottes s’éloigner. Enfin, j’avais trouvé un maître qui acceptait de me dresser réellement. Déjà, je n’avais qu’un désir, arrêter, laisser tomber, rentrer à la maison. Mais là maintenant impossible. Chaque séance de dressage durait trois jours pleins. Je venais le jeudi soir, il me libérait le lundi matin. J’allais enfin devenir un bon chien, un bon sous , un bon mange- du maître et son jouet sexuel. J’allais enfin servir à quelque chose à mes 59 ans. Mais c’était déjà dur, le Popper's en faisait plus d’effet, et le froid commençait à me caresser la peau. Je m’allongeais comme je le pouvais sur la couverture et en me tordant je fin par me rouler dedans. Il me fallait maintenant attendre le maître, ça, c’était le plus long dans le dressage, peut être aussi le plus dur, car j’avais besoin de lui. 1er dressage À suivre…