La rencontre avec Ismael 2
Histoire gay publiée le 02/07/2025
Lorsque le jeune black est redescendu pour nous chercher, ça faisait un certain temps qu'Ismael me limait la gueule, alternant les moments où il me gavait en gorge profonde et les moment où je pouvais lécher ses couilles épilées et sensibles, sucer son gland sombre et violet, presque noir, sniffer ses poils aux odeurs musquées excitantes avant de revenir engloutir son chibre impressionnant en fond de gorge. « Allez le bâtard, on monte, on va voir ce que tu vaux vraiment ! » Apparemment il aimait les baises verbales, ça tombait bien, moi aussi ! Vu qu'il me niquait la gorge, impossible de lui répondre, mais ses commentaires sur mes capacité de bon pompeur et ses encouragements m'excitaient à tel point que ma bite dure commençait à me faire mal et avait depuis longtemps jailli hors de mon jock-strap pour se dresser fièrement, le gland luisant de pré-cum (j'ai une bonne teub d'un bon vingt-deux centimètres, mais rien de comparable à celle d'Ismael) ; « Tiens, un bâtard plutôt bien monté, c'est parfait, on va pouvoir jouer avec ça aussi ; profites-en aujourd'hui, si tu viens chez moi elle sera enfermée en cage la plupart du temps pour que tu ne te touches pas, la frustration augmentera ton excitation et te rendra encore plus salope ! » Voilà , j'étais prévenu... arrivé au bar je vis tout au bout du comptoir un banc de baise qui venait d'être installé, avec des sangles de cuir matelassées pour immobiliser les poignets et les chevilles sans les blesser, et sur lequel je me suis vite retrouvé à quatre pattes, le torse confortablement soutenu par la partie centrale du banc bien rembourrée elle aussi, les cuisses écartées et les couilles pendantes, le cul bien en évidence et offert à tous sans possibilité de m'échapper. Le banc était installé sur une estrade qui mettait ma bouche à la hauteur du bar, sur lequel Ismael vint s'assoir ; immédiatement j'essayai d'attraper sa bite avec mes lèvres, histoire d'honorer ma réputation de saute-au-paf, mais il me retint par les cheveux, me tirant la tête en arrière : « Du calme, tu vas l'avoir en bouche pour un long moment, le temps de bien te lubrifier le cul au jus pour que tu la prennes jusqu'aux burnes... et pour ça faut pas que tu fatigues de la gueule, la crampe de la mâchoire est le pire cauchemar des pompeurs, on va t'équiper pour te soulager un peu... Aymeric, tu peux me passer l'accessoire ? » Le barman lui tendit un écarteur de gueule métallique réglable en ouverture, avec les parties en contact avec les dents enrobées de caoutchouc épais, et qui se refermait derrière la tête par des sangles elles aussi rembourrées et confortables ; ainsi équipé j'allais pouvoir rester la gueule ouverte un bon moment sans fatiguer... « Voilà, tu vas baver comme une chienne, c'est sûr, mais ça ne sera pas perdu, tout sera récupéré pour servir de lubrifiant pour ton cul ! ». Pour résumer j'étais immobilisé à poil dans un bar, le cul offert à tous, les couilles pendantes et la bite dressée, la gueule maintenue ouverte sans que je puisse m'opposer à quoi que ce soit ni prononcer une parole intelligible ! (à suivre, avec un peu de patience, je pars en déplacement jusqu'à la mi-juillet...)