Il avait tout pour lui : bonne gueule, bien foutu, viril, super cul. Mais il a décidé de consacrer sa vie à un businessman dominateur. Il lui appartient désormais et le laisse se servir de son corps. Pour sucer, pour obéir, pour se faire enculer comme le dernier des bouts de viande. Il se donne, il profite.

Dans HOLE 2, Josh West, voyeur à la grosse bite, supervise un centre de détention sinistre dont les habitants sont invités à se regarder se branler ou baiser sur une télévision en circuit fermé. Josh leur permet de se regarder les uns les autres, et il joue continuellement le rôle de marionnettiste en mettant deux hommes ensemble pour jouir de les voir se ravir sexuellement l'un l'autre. Le confinement solitaire et le régime pornographique continu auxquels il soumet ces hommes robustes les remplissent de passions qui ont besoin d'être assouvies. HOLE 2, réalisé par Tony Dimarco et Adam Killian, lauréats de nombreux prix, met en scène quatre paires de grosses bites tordues et les trous qu'elles remplissent, ainsi qu'un final en solo. L'isolement a laissé Joe Parker excité, et il a besoin d'un bain et d'un rasage. Quand Adam Ramzi est poussé dans sa cellule, Joe réagit comme un animal en cage que l'on nourrit. Ensuite, deux scènes où les modèles sont neutralisés par le plastique. Pour Luke Milan, la privation d'oxygène et la privation de sexe sont synonymes de combustion. Bryan Cole déballe Luke comme un cadeau puis lui livre son cul. Mitchell Rock et Jesse Santana sont tous deux capturés dans du plastique rouge. Jesse est attaché face contre terre et Mitchell peut voir, mais pas atteindre, le cul de Jesse ... jusqu'à ce qu'il déchire son enveloppe et s'empare du trou qui l'attire. Trenton Ducati est jeté dans une douche qui coule. Lorsque Scott Hunter se matérialise, ses pectoraux musclés et son cul haut et rond font revenir Trenton à lui. Enfin, l'architecte de ces rencontres sexuelles confinées, Josh West, voit son plan d'ensemble devenir réalité et se fait plaisir. Dans Hole 2, le muscle, la sueur et la bite s'ajoutent à des appétits sexuels implacables qui auraient pu être forgés dans un réacteur nucléaire. C'est une prison dans laquelle certains hommes veulent entrer, mais dont ils ne veulent pas sortir.