Il en avait envie. Servir de vide couilles, être traité comme une chiennasse dont on dispose des trous et qu'on exploite sans états d'âmes. Il y est, c'est le moment :un macho domi le prend en main, l'attache, lui bande les yeux et le bâillonne. Il le traine au sol comme un vulgaire sac à foutre, va bourrer sa bouche jusqu'à lui filer la nausée avant d'aller défoncer son trou de balle puissance mille. La lope peut même pas crier, elle a la bouche couverte. Y a juste à encaisser, se faire démonter en mode barbare et kiffer. Les trous explosés et en feu, les panards du maitre sur la gueule : le soumis se sent possédé et se prend l'orgasme de sa vie.
Quand il l'a vu, il a tout de suite eu envie de lui appartenir. A peine âgé de 18 ans, le jeune minet gay, cheveux brun, timide, corps sec, rêvait depuis déjà longtemps d'être soumis à un homme. Et il n'y avait à l'évidence pas meilleur Maître possible que celui-là : un trentenaire bogosse, barbu, regard vicieux, ferme, autoritaire naturellement. Il a emménagé chez lui, il l'attend maintenant toute la journée, à poil, yeux bandés, bâillonné, en laisse. Quand le master arrive, c'est la fête : enfin l'occasion de se gaver avec sa succulente bite, de lécher son gros gland et de suivre tous ses ordres. Triquant comme une salope, le soumis se laisse fouetter le cul et bourrer la chatte sans ménagement. Vider le boss est un honneur et il va tout faire pour le satisfaire.