Histoires de sexe

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La rencontre avec Ismael 1
Histoire gay publiée le 02/07/2025
L'annonce sur le site que nous connaissons tous était laconique : « Grand mec BM, gros baiseur insatiable cherche passif trous endurants pour longues sessions. Si intéressé envoie tel pour contact rapide par WhatsApp » aucune photo, pas d'âge, aucune localisation, ce mec ne devait pas recevoir beaucoup de réponses ! Je tentai le coup malgré tout, on ne sait jamais, et l'idée d'un plan long avec un inconnu bien membré n'était pas pour me déplaire. A peine une heure après avoir envoyé mon numéro, je reçu un message d'un correspondant inconnu : « Salut ! Dispo pour un appel téléphonique ? » Sans hésiter je répondis oui, quelques secondes plus tard mon téléphone vibrait : « Salut bâtard ! » fut le premier contact avec celui qui allait occuper une grande partie de mon temps libre... il enchaîna : « je suis un gros baiseur bien membré et non coupé, je n'ai pas beaucoup de temps libre en semaine mais je cherche des vrais trous à niker sans retenue, des mecs qui viennent passer le weekend ou les vacances chez moi et que je peux utiliser sans retenue quand j'ai besoin de me vider les burnes, au minimum cinq fois par jour, à toute heure du jour ou de la nuit pour des baises longues, intenses et sans capote. Avant de te faire venir pour un plan long je dois tester tes trous, j'en ai marre des plans foireux avec des mecs qui ne tiennent pas la route et qui crient grâce au bout de deux heures ; dispo demain soir pour une session test dans un bordel parisien ? » J'étais libre, je répondis oui sans hésiter ; il reprit : « Rendez-vous au Mensch à 21h00, tu m'attendras accroupi dans le fumoir au sous-sol avec juste un jock-strap, jaune si possible puisque c'est l'ancien pissoir ; et si tu arrives avant moi et que tu trouves d'autres mecs pour commencer à s'occuper de toi n'hésite-pas, ils commenceront à te préparer pour moi, ça me facilitera le travail, mais surtout pas de gel, j'ai horreur de ça, uniquement de la salive et la mouille de ton cul !». Au moins ses directives étaient claires et il semblait bien connaître les lieux ; je lui demandais comment le reconnaître, il me répondit que lui me reconnaîtra et viendra à moi. Ca me semblait un peu léger, j'avais juste envoyé mon numéro, aucune photo, je craignais franchement un plan lapin ou un mec qui vient mater mais ne se montre pas pour telle ou telle excuse bidon, mais bon, une fois sur place, si jamais ce mec ne se manifestait pas, il y aurait toujours quelqu'un avec qui satisfaire mes envies de bites, peut-être même Aymeric, le nouveau barman que j'avais déjà vu quelques fois, qui me faisait craquer et semblait avoir été richement doté par Dame Nature, mais qui malheureusement ne semblait pas s'intéresser à la clientèle, sur un plan sexuel, bien entendu... Le lendemain j'arrivai bien en avance au bar, pour avoir le temps de me mettre en conditions et de boire une ou deux bières en attendant le rendez-vous ; une fois à poil avec juste mes skets et mon jock jaune (j'étais allé l'acheter l'après-midi même pour l'occasion, je n'en avais pas de cette couleur), et environ une demi-heure avant le rendez-vous je suis descendu rejoindre le fumoir au sous-sol, avec un bédo de bonne weed pour patienter. J'étais accroupi, le dos calé contre le mur, au début de mon joint quand un jeune black fin est entré en me demandant s'il pouvait tirer quelques lattes ; nous avons entamé la conversation tout en se passant le joint, et à peine le mégot écrasé il commença à déboutonner la braguette de son jean pour me présenter une belle queue que je m'empressais de prendre en bouche pour la faire gonfler et durcir. Je sentais qu'il appréciait à ses gémissements et très vite il me prit la tête entre ses mains pour imposer sa cadence et commencer à me baiser la bouche. Sa bite non coupée prenait une bonne taille sous mes coups de langue et je me dis que la soirée ne serait peut-être pas mauvaise quand un très grand punk métis à crête écarlate et gros anneau dans le nez nous rejoint en reniflant et demandant si nous avions encore de quoi fumer, puis en me regardant dit au black : « je vois que tu as commencé à jouer avec le bâtard que je dois tester ! » Il enchaîna « Si tu es chaud et que tu as envie de continuer, laisse moi sa bouche et commence à t'occuper de son cul, ça me fera gagner du temps ! Surtout pas de gel, je déteste ça, utilise ta salive et tes doigts pour bien l'ouvrir pour ma queue plus tard, essaye de bien le faire mouiller du cul ! ». Le black se prit au jeu et laissa sa place à ce mec qui mesurait plus de deux mètres, avec une musculature fine de gymnaste ou de danseur ; lorsqu'il ouvrit son futal allemand à pont, il libéra une véritable trompe, large, épaisse, bien veinée et non coupée, impressionnante bien que pas encore demi-molle, et là je ne put résister et commençais à la sniffer avant qu'il ne m'ait dit quoi que ce soit. « Putain, un vrai saute-au -paf, quelle chance, ça devient rare de nos jours ! Allez, au taff le bâtard, montre ce que tu sais faire ! ». il ne fallait pas me le dire deux fois et je me jetai goulûment sur sa bite ; à peine prise en bouche, il m'attrapa par les deux oreilles et rentra d'un coup directement en fond de gorge, j'avais le nez dans ses poils pubiens roux qui sentaient le mec, et ses burnes lourdes et pendantes contre mon menton: à moins de me les rentrer elles aussi dans la gueule, il ne pouvait pas aller plus profond, jamais je n'avais pris une bite comme ça, elle devait faire plus de vingt-cinq centimètres ! « Là, c'est bien comme ça, c'est un bon début, et tu as de la chance, pour une première fois j'ai enlevé mon Prince-Albert pour t'épargner ! » Je sentais qu'il avait passé la glotte, et à peine installé il commença à me pisser directement dans la gorge ; ça m'a excité au point que le black qui s'occupait de mon cul le remarqua : « je ne sais pas ce que tu lui fais, mais ça l'ouvre comme une vraie chienne en chaleurs ! » Le punk répliqua : « C'est normal, je suis en train de lui pisser dans la gorge et manifestement il est très réceptif à mes phéromones, si je ne me trompe pas on va pouvoir jouer un bon moment avec lui ; continue à lui préparer le cul, et si tu as un peu de temps et que ça te branche tu vas pouvoir le niker et le lubrifier au jus pendant que je lui formate la gueule ! ». « Cool, c'est sympa de partager ton bâtard, mais pour ça on ne va pas être très à l'aise ici. » « T'inquiète, on va passer en haut au bar, mais il faut un peu de préparation ; tu connais Aymeric, le barman ? Demande-lui s'il veut bien installer le banc de baise pour Ismael et file-lui un coup de main, positionnez-le avec la bouche vers le bar et le cul vers la salle, pendant ce temps je continue à abuser de sa gueule ». C'est ainsi que je sus qu'il s'appelait Ismael.