Histoires de sexe

"Oh mon Dieu", se dit Peter en entrant dans l'appartement qu'il partage avec son colocataire, Jack. "Je suis tellement fatigué, complètement épuisé. Quelle journée de travail, des appels téléphoniques à n'en plus finir, des courriels de plaintes de clients à n'en plus finir, et puis cette longue réunion ridicule dans le bureau de mon patron avec les nouveaux clients de l'entreprise. J'ai l'impression que ces nouveaux clients vont être très exigeants, JEEZ ! ! ! Tout ce que j'ai envie de faire maintenant, c'est de dormir pendant une heure ou deux, puis de prendre un dîner léger. Je suis même trop fatigué pour cuisiner à ce moment-là."
Peter jeta sa veste de costume bleu marine sur une chaise du salon, enleva sa cravate, la jeta sur la chaise avec sa veste de costume, déboutonna les premiers boutons de sa chemise blanche et s'assit sur le canapé.
Alors qu'il faisait glisser ses mocassins de ses pieds, Peter appela "Jack ! ! ! Je suis rentré ! ! ! Je vais m'écrouler sur le canapé avant de dîner ! !"
Assis là, attendant une réponse de son colocataire, dont Peter pensait qu'il était dans sa chambre, le jeune homme n'entendit que le silence.
"Jack ? Tu es là ?" Pierre l'appela à nouveau.
Il s'est alors dit à lui-même : "Il a probablement encore été coincé tard au travail. Bon sang, grimper les échelons de l'entreprise, ça craint parfois."
Alors qu'il s'apprêtait à s'allonger sur le canapé, Pierre sentit soudain l'odeur de boue qui s'échappait de ses mocassins et de ses chaussettes bleues foncées OTC, qu'il portait depuis 6 heures du matin, lui agresser les narines.
"Mes pieds puent", se dit Peter. "J'espère que l'odeur se dissipera avant que Jack ne rentre à la maison.
Sur ce, Peter s'allongea sur le ventre, posa sa tête sur un oreiller du canapé et tira un coussin sur sa tête.
Quelques instants plus tard, il dormait profondément.
Quinze minutes plus tard, Jack, le colocataire de Peter, est rentré du travail, est entré dans l'appartement et a fermé la porte à clé derrière lui.
"Hé Peter, je suis rentré, mec !" appelle Jack en se dirigeant vers le salon.
Lorsqu'il vit Peter allongé sur le canapé et ronflant doucement sous le coussin au-dessus de sa tête, il gloussa un peu et dit : "HEH, on dirait que quelqu'un a eu une rude journée de travail."
Alors qu'il se dirigeait vers sa chambre, enlevant sa veste de costume en marchant, Jack sentit la forte odeur piquante émanant des mocassins de Peter sur le sol et de ses pieds chaussés de chaussettes transparentes.
Jetant sa veste de costume sur la chaise où Peter avait jeté la sienne plus tôt, desserrant sa cravate, Jack se dit : "Bon sang, mon colocataire a vraiment des pieds qui puent, mais putain de merde, l'odeur est aussi attirante d'une certaine manière, dans un sens sordide".
Jack enleva rapidement sa cravate, la jeta sur la chaise, comme l'avait fait Peter, déboutonna les premiers boutons de sa chemise blanche...
...et puis...
...sans se douter qu'il était en train de le faire, il s'est approché de l'endroit où les pieds en chaussettes de Peter étaient étalés sur le canapé, s'est penché tout près d'eux...
...et les renifla chaleureusement.
"Oh putain", murmura Jack d'un ton lascif, et tandis qu'il reniflait davantage les pieds de Peter, en particulier juste sous ses orteils chaussés, il sentit sa bite s'engorger dans son pantalon de costume. "DAMN, ses chaussettes transparentes qu'il adore porter sentent tellement le funky et le moisi... le cuir aussi..."
S'assurant que Peter dormait toujours, Jack ramassa l'un des mocassins de l'homme, le pressa contre son nez et sa bouche et inspira profondément...
...et ce faisant, il émet de doux croassements de plaisir.
"Mon Dieu", murmura Jack dans le mocassin de Peter, le serrant plus fort sur son nez et sa bouche et inspirant plus profondément à chaque bouffée. "Qui aurait cru que les chaussures malodorantes et les chaussettes transparentes de mon colocataire m'exciteraient au point de me faire bander ?
Jack tira la langue, pressa plus fort le mocassin sur son nez et sa bouche, et commença à lécher l'intérieur, son autre main massant le bourrelet de son pantalon de costume, et la chair de poule se répandant sur tout son corps.
"Oh oui, oui, l'odeur funky des pieds de mon colocataire, une odeur si masculine aussi", souffla Jack...
...et sans réfléchir, il reposa le mocassin de Peter sur le sol, prit l'autre et, comme il l'avait fait avec le premier, le pressa contre son nez et sa bouche, inhalant profondément une fois de plus...
...tout en continuant à masser le bourrelet de son pantalon de costume.
Sur le canapé, Pierre s'agita un peu dans son sommeil, mais quelques secondes plus tard, il était de nouveau installé.
Souriant à son colocataire, le deuxième mocassin de l'homme sur le nez et la bouche, Jack se dit : "Ouais, c'est ça Petey, reste endormi. Donne-moi tout le temps dont j'ai besoin ici. Quelle chance que l'agence immobilière nous ait trouvé cet appartement"
Lorsqu'il en eut assez de respirer les odeurs de l'autre mocassin de Peter, même s'il doutait d'en avoir jamais assez, car ce à quoi Jack pensait à ce moment-là, c'était à l'excellente relation que Peter et lui allaient avoir à l'avenir, du moins l'espérait-il.
Il cessa de masser son érection dans son pantalon de costume, ne voulant pas jouir, ou du moins, ne voulant pas jouir tout de suite...
...Jack reposa l'autre mocassin de Peter sur le sol, se recroquevilla sur le côté du canapé au niveau des pieds chaussés de son colocataire, se pencha, inspira profondément et ses yeux se fermèrent sous l'effet de l'extase.
"MMMMMMMM... mes copains me prendraient probablement pour un fou", se dit Jack en reniflant le dessous des pieds chaussettes de Pierre, comme si sa vie en dépendait. "Mais d'un autre côté, mes copains sont parfois tellement dévergondés qu'ils aimeraient peut-être les pieds et les chaussures malodorants de Peter autant que je les aime en ce moment.
Aussi doucement que possible, Jack pressa son nez contre la partie du pied gauche de Peter, juste sous les orteils de l'homme...
...et inspira fortement, presque violemment semble-t-il au jeune cadre.
"FUCK, je serais heureux d'être l'esclave des pieds de Peter", se dit Jack. "Ou peut-être que je pourrais faire de ce type mon esclave en m'assurant que ses pieds empestent toujours. Ouais, fais-en mon esclave. HEH, faites-lui porter la même paire de chaussettes transparentes pendant plusieurs jours d'affilée et présentez-moi ensuite ces numéros puants sur ses pieds, oh putain de oui...YEAH..."
Jack commence alors à déposer de délicats et légers baisers de haut en bas et de bas en haut sur le pied gauche de Peter...
"HHHHHUUUUHH, MMMMMMM, si bon, si incroyablement bon..." Jack chuchote à petites bouffées en embrassant et en inhalant et en embrassant et en inhalant le bas du pied en chaussettes de Peter. "Jolis pieds de bœuf odorants en chaussettes transparentes que mon colocataire a..."