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Couilles à dispo
Histoire gay publiée le 06/06/2023
Il y a quelques mois, de passage à Metz, je vais faire un tour le soir sur un lieu de drague bien connu, sous les arches d'un vieux pont... Mais rien de concluant. Je me retourne vers une appli bien connue et à quelques mètres de moi seulement, il y a du monde. J'entame la conversation et ça réagit, surtout quand je propose de s'occuper de mes couilles que je mets à disposition. - Intéressant, j'ai jamais fait. Tu dois être une bonne salope, je vais m'occuper de toi. T'es où ? - Comme toi sur le parking... - Parfait, rejoins moi à l'escalier. Je le retrouve 2 minutes plus tard au lieu de rdv. Un simple signe de tête suffit à me faire comprendre que c'est lui : 35 ans, barbu, poilu semble-t-il, un peu dégarni, et un petit bidou, mais un charme fou et surtout un charisme incroyable. Je m'approche de lui, simplement vêtu d'un short, tee-shirt et tong. Evidemment rien dessous. Il m'attrape direct par les couilles. - t'as pas menti, y'a ce qu'il faut, je vais m'amuser et tu vas en chier. Par contre, t'encaisse et tu fermes ta gueule. Suis moi. Je le suis, je n'ai pas le choix, il a relevé ma jambe de short, m'a repris mes deux boules pendantes en main et il m'entraine. Il les tient fermement, sans trop serrer, juste assez pour me faire comprendre que je ne décide plus de rien. Je dois marcher à côté de lui de tel sorte qu'on voit parfaitement qu'il me traîne par les couilles. Il fait presque nuit. Seuls quelques lampadaires éclairent péniblement l'allée. Et nous croisons plusieurs mecs, venus ici pour chercher la même chose que moi. Les mecs sourient, un s'approche pour tâter la marchandise, il le renvoie péter, faisant comprendre qu'il est le boss et sera le seul à en profiter. D'autres commentent : "Voilà une bonne salope... Arrache-lui les couilles à cette chienne !" Il ne dit rien et continue à avancer en pressant un peu plus à chaque rencontre. La douleur commence à être forte. L'humiliation est totale. Nous parvenons sous les arches. Il y a un peu de monde. Ca ne semble pas lui plaire. Il décide de passer sous une autre ou nous serons plus tranquille. En effet, il n'y a que nous. Par contre, on y voit plus clair. Le bruit de l'eau et des voitures qui circulent au dessus pourra estomper mes cris. Il s'arrête, me lâche les couilles. - A poils ! Je quitte au plus vite mes fringues, ne gardant que mes chaussures. - T'as de quoi de gazer ? - Oui. - Donne. Les mains dans le dos. Il attrape mon tee-shirt posé au sol et me ligote les mains dans le dos. - Ecarte les jambes. Et baisse les yeux. Ce que je fais. Il ouvre le poppers et me le colle sous chaque narine. Je pars direct. Il l'a vu. Il me reprends les couilles dans sa main gauche, les deux boules posées dans la paume de sa main et il verrouille le tout. La pression est énorme et la douleur est fulgurante. Je me plie en 2, lachant un cri de surprise et de douleur. De sa main droite, il m'attrape par les cheveux, me relève, et me balance deux grandes calottes dans la gueule. - Tu restes droit et t'encaisses en fermant ta gueule. Je suis sonné, j'ai compris le message. D'autant qu'il augmente la pression et que maintenant, il tire dessus. Ca me remonte jusqu'au milieu du ventre. Et je bande comme un âne ! - T'aimes ça. C'est bien. On va bien s'amuser... Les larmes me montent aux yeux, je ne peux pas faire autrement que de poser la tête sur son épaule. Il me parle à l'oreille. - On va aller loin tous les deux. Tu sais, toute la journée, je porte des brouettes. Mes mains c'est de l'acier. Si je veux, tes couilles je te les éclate. J'avais jamais fait ca, mais ça m'excite grave. Tu m'appartiens. T'es à moi pour un bon moment. Et si je veux, tu crèves. La pression augmente. Je couine. De sa main libre, il déverrouille le poppers et m'en remet une large dose. Et il continue à tirer, à tordre et à écraser, relâchant la pression de temps en temps. J'ai toujours la tête sur son épaule. A travers son marcel, me remonte une odeur de male qui a sué toute la journée. Je renifle fort. Il lève le bras droit et me présente son aisselle, hyper poilue et bien humide. Hummm, je ne peux m'empêcher d'aller y coller le nez. C'est bien meilleur que le poppers. Une bonne odeur musquée. Je me mets à lécher. Je sens que ça l'excite, qu'il aime ça car la pression sur mes couilles augmente. Mes deux oeufs sont serrés dans sa main prêt à exploser. - Décrasse-moi. Oui, c'est bien, t'es une bonne salope. T'encaisse bien. Il lâche mes couilles d'un coup, enlève le marcel et défait sa ceinture, déboutonne son short et l'entrouvre. Ca n'a duré que quelques secondes, mais je me sens abandonné... Et attrape chacune de mes couilles et coince chaque boule entre le pouce et l'index de chaque main. Et il sert très fort. La douleur est fulgurante d'autant que le poppers ne fait plus effet. Alors je me plonge le nez dans son torse hyper musclé et très poilu. Je me remets à lécher, je vais déguster chacun de ses tétons... - C'est bien oui... Lèche bien... Ce mec est un monstre de virilité. Tout ce que j'aime est là, les épaules larges, le torse en acier, hyper poilu. - Vas-y décrasse moi intégralement, pas eu le temps de la douche. Et comme t'as l'air d'aimer ça... Je m'affaire comme je peux, collant sa toison de poils à chaque coup de langue. - Et mon dessous de bras gauche, salope, tu l'oublies pas... Il lève le bras, sans lâcher ma couille droite. Il tire tellement dessus qu'elle m'arrive presque au nombril. Je l'accompagne comme je peux pour que ca tire le moins possible, mais il met un peu plus la pression sur la boule pour pas la lâcher. C'est énorme. - T'attends quoi... Je tends la langue et le nez. M'enivre de toute cette testostérone, de ces féromones... Et je lèche, décrasse le boss. Je reviens sur ses tétons. - Bouffe-moi le ventre. Allez, fais ta salope. T'es bonne qu'à ça. Je me plie en deux comme je peux. Il tient mes couilles à bout de bras et ne fait aucun effort pour soulager la douleur qui me remplit le ventre intégralement depuis bien longtemps. Je vois la touffe dense et drue aussi qui remplit le short et semble-t-il une belle barre qui part sur la gauche et qui déforme le tissus. Je descends en tentant de maîtriser au mieux l'étirage et l'écrasage de mes deux couilles. Il les lâche à nouveau. - A genou et ouvre la bouche. Quel soulagement d'avoir un peu de répit. Evidemment, je suis à genou, au pied de ce montre de masculinité qui me domine de son mètre 90. Je prends une nouvelle fois deux énormes calottes dans la figure. Il me gaze au poppers. Très longuement cette fois. - Ouvre la bouche, t'as pas compris. Il sort sa queue de son short et l'approche de ma bouche. Il a une queue énorme... Je l'ai en gros plan devant les yeux. Au moins 24/6, circoncise,. Le gland est bien plus gros, bien rond, plus clair aussi alors que la tige est presque noire. Il la tient d'une main, et bien que sa main soit énorme, elle n'en couvre même pas la moitié. Je l'ai à dix cm du visage. Elle n'est pas droite. Courbée à la fois vers la gauche et vers le haut. Quel morceau. C'est la plus énorme queue que j'ai jamais vu. Le poppers fait son effet, je suis fasciné... - Ouvre la gueule, t'as pas compris ? J'ouvre. Et il se met à pisser. Le jet direct énorme m'arrose le visage, m'éclabousse. Je ferme les yeux. Je sens qu'il vise la bouche. - Avale. J'avale. Il me remplis bien. Ca déborde. Je sens qu'il m'arrose les cheveux puis finalement tout le corps de sa pisse chaude. Ca me dégouline partout. Je sens le jet se tarir. Et ca recommence, sur la droite. J'ouvre les yeux. Il y a 3 autres mecs autour et derrière moi qui sont entrain de m'arroser de partout. L'un vient devant et me met sa queue direct en bouche pour se vider. Je ne me pose aucune question j'avale. Et ca s'arrête. - Cassez-vous les mecs. Je m'en occupe, vous la récupèrerez après si vous voulez. Toi la salope, debout. Je me relève en titubant. Je suis mouillé de partout. Avec le vent de la soirée, j'ai froid. Il reprend mes couilles dans sa main gauche et reprend le traitement du début. Il serre dans sa paumes mes deux boules et tire l'ensemble vers le bas. Je bande toujours autant et je mouille. J'ai reposé la tête sur son épaule, je ne peux pas faire autrement. Il vient se coller à moi pour que je sois redressé au maximum et me parle à nouveau à l'oreille. Avec sa main droite, il vient chercher ma rondelle. La pression sur mes couilles est énorme. Je couine. - C'est bien ma salope. Encaisse. Le ton est plus doux. Il joue avec mes couilles en réaction à chacun de mes couinements. - Tu m'excites grave. J'adore tes couilles. Elles sont à moi maintenant. Résiste, oui comme ça. Il a trouvé ma rondelle. Il vient humecter ses doigts dans ma bouche. - Lèche bien les doigts qui vont t'ouvrir. Et il les remets devant ma chatte, rentre direct deux doigts. Deux gros doigts, bien longs et épais. C'est énorme. Les couilles et la chatte en même temps. Il me mets un 3e doigts et cherche à rentrer profond. Je sens le bout de ses doigts sur ma prostate. Ouaww. - Quelle chatte, déjà bien ouverte ma salope. Il me lâche, me retourne, m'oblige à me pencher en avant et à écarter les jambes. Il reprend mes couilles par derrière d'une main et de l'autre il m'écarte le cul et je sens sa langue qui s'empare de mon trou. C'est incroyable. Il sait y faire. Il alterne la langue, me remet des doigts, écrase et tire mes couilles en même temps. Il me bouffe le cul pendant dix minutes, m'écarte le trou, me pénètre avec la langue, me travaille en profondeur. Et d'un coup, sans qu'il ait lâché mes couilles, il pose son gland sur mon trou et pousse. Je sens sa barre énorme et hyper dure rentrer sans résistance et il va direct au fond. Il pousse un cri de titan quand il est enfin au fond, se redresse dans une attitude de male l et dominant. Moi aussi je couine fort car il a toujours mes couilles en main et je sens bien que c'est sa queue qui le préoccupe. Alors il vient de les serrer et de les tirer encore plus. Je me plie encore plus pour éviter d'avoir trop mal. Mais j'aime aussi ça et le garçon sait y faire. Il commence à me pilonner. Puissant, ca tape au fond à chaque coup. Comme avec mes couilles, il ne lâche jamais. Avec sa 2e main, il m'attrape par les cheveux, m'obligeant à me redresser, à bien cambrer le dos, et donc à tirer moi-même sur mes couilles. J'ai le ventre en feu. Il me travaille la chatte comme ça pendant un bon quart d'heure, allant de plus en plus emment au fond. Un mec se pointe, d'abord à distance, il se rapproche tout doucement. C'est un black. Le même format que le boss qui me défonce la chatte. Il est torse nu, un short. Lui aussi incarne la puissance du mâle. Il se caresse à travers le short d'une main et se triture les tétons de l'autre. Dans la pénombre, je ne distingue pas grand chose. Il s'adresse au boss. - Salut mec, t'as trouvé une sacré chienne là. Elle a l'air d'être bonne. - C'est clair, frérot. Remplis lui donc la bouche qu'elle la ferme. - Ça va la lui faire fermer c'est clair. Le mec s'approche a portée de bouche et baisse son short. Le morceau est énorme. Moins longue que celle qui me perfore les entrailles, mais bien plus large. Hyper droite. Pas un poil. Une paire de couilles énormes et ultra pendantes qui lui arrivent à mi genou. - Joli morceau. Moi, j'ai ses couilles en main et a la sortie, elles seront aussi longues que les tiennent. Il m'attrape la figure avec ses deux mains, pose son gland sur ma bouche ouverte. J'essaie d'avaler. Le gland passe à peine. - Ça te dérange pas, mec, que je la nourrisse à la pisse ? Je vois que tu t'es déjà occupé de cette chienne de ce côté là. - Pas de problème, t'inquiète elle est prête à tout. Et elle encaisse bien. Je sens l'urine me remplir le gosier, j'avale comme je peux. Le boss, que la situation excite, me boudine de plus belle. Il est endurant. Il lui tend le poppers. - Gaze là, lui bourrer la gueule, faut qu'elle se détende. - T'as raison mec. Il me colle le poppers sous le nez, me bouche une narine puis l'autre pour que j'en prenne un maximum. Vu ce qui vient, je vais en avoir besoin. Le black me rentre maintenant un peu plus sa queue dans la gueule et commence les va et vient. Je bave de partout. Le pilonnage de ma chatte me fait mouiller un max. J'ai mal à la queue tellement je bande. Et le black continue à rentrer son énorme morceau. - Viens à ma place, dit le Boss, je te l'ai ouverte, mais tu vas lui finir la chatte. Il décule sans lâcher mes couilles. Le black vient prendre la place. - Prends lui les couilles. Tu vas voir, c'est génial de les lui écraser à chaque coup. Et il mouille de ouf. Le black me reprend les couilles. Ses doigts hyper longs me les emballe complètement. Il sert moins, mais tire un max dessus. Vu comment sont les siennes, je pense que lui aussi est un adepte. Il m'embroche. Malgré le pilonnage du boss, je sens le morceau m'ouvrir encore plus. Il est rentré direct. Et c'est une rude. Mon boss est maintenant dans ma bouche et va chercher la gorge profonde. Et c'est parti pour un pilonnage de bourrin des deux côtés. Je peux à peine respirer. Je sens les deux morceaux de plus en plus durs et rentrer au plus profond. Le black a rentré deux doigts en plus de sa queue. Je vais éclater tellement ils y vont. Et ce qui est incroyable, c'est qu'ils viennent tous les deux en même temps. Le boss me remplit la bouche d'une bonne dizaine de bon jus. Le black jouit dans mon cul, et c'est hyper ent pour lui, des contractions énormes. Il me tient fermement le cul et tire encore plus fort sur mes couilles. Tous les deux restent plantés en moi le temps de reprendre leur souffle et leurs esprits. - Tu vas nous nettoyer le matos maintenant. Et serre la chatte car il est hors de question que tu gaspilles le jus de mon pote. Le black décule doucement. Il débande pas. Pas plus que le boss d'ailleurs. Tous les deux sont devant moi maintenant. Je lèche et nettoie ces deux très belles queue qui sentent encore plus le male. - Tu veux une clope, mec. Continue toi salope. - Oui mec. Une sacrée chienne. Elle encaisse. Il se sont allumé une clope et papotent tranquillement. Je me suis remis à genou, toujours les mains liées dans le dos, et une queue ou l'autre dans la bouche. Ils débandent tranquillement. - Bon, ben merci, dit le black. J'y vais. - Salut frérot. Toi ma salope, je te garde. Relève toi. Ce que je fais. Il me reprend les couilles, me refait bander en même temps. Puis il m'attrape la queue de son autre main et me branle. - Si je te veux encore, faut te traire. Les chiennes comme toi, ça encaisse mieux quand ça a plus de jus. En trois aller retour, je me vide. Une quantité énorme de jus. Je suis sur les rotules, j'en peux plus. Mon boss me détache les mains, et me reprend les couilles. - T'as une bagnole ? Je hoche la tête, je peux même plus parler. - C'est cool. Attrape tes fringues. Je récupère mon short et mon tee-shirt, trempés de pisse tous les deux. Et mon boss, m'emmène comme ça, à poils, en me tenant toujours par les couilles. - On y va mec, tu me ramènes chez moi. Je reprends péniblement mes esprits. Il m'entraîne déjà. On reprend le chemin inverse. Le chemin qu'on avait pris est maintenant presque vide, mais il me fait passer à proximité des mecs qui sont là. Je prends conscience que je suis à poils, qu'il me promène par les couilles. Je n'entends même pas ce que les mecs disent. On est sur le parking. En pleine lumière. J'ouvre la voiture. Il me lâche les couilles et va s'installer à la place du mort. Je monte au volant, jette mes fringues sur le siège car je sens que je vais exploser du cul. Il a repris mes couilles en main. Je suis toujours dans un état second. Il me guide pour retourner chez lui. On passe par des rues où il y a plein de monde. On arrive au milieu de barre d'immeubles. Il me fait arrêter. - Tu m'attends... J'arrête le moteur. Il sort et s'éloigne de la voiture. Je patiente pas longtemps. Je jette un oeil sur la pendule... Ca fait 3 heures que je suis avec ce mec. Ma porte de voiture s'ouvre. Il m'attrape à nouveau par les couilles. - Viens, faut que je te présente. Je sors. Là, il y a 4 mecs. Tous comme lui. En short marcel. Il m'entraîne vers un banc, à proximité de la voiture. Il s'assoit sur le banc, me fait mettre à côté de lui, à genou sur le banc. Cul tendu. - Elle est à vous cette chienne. Je n'en peux plus, je suis au radar. Les 4 mecs me baisent à tour de rôle. Des beaux morceaux, mais quand même la maille en dessous de mes deux premiers bourreaux. Des bourrins, mais qui jouissent vite. Tous se vident dans mon cul. Leur affaire terminée, le boss les renvoie dans leurs 22. - Cassez-vous, je vais la finir. Les mecs partent. Mon boss me lâche les couilles, se lève. Il passe derrière moi et je sens ses deux mains se poser sur mon cul, ses doigts me rentrer dans ma chatte béante. Il vient poser sa bouche et commence à me bouffer le cul. Je me laisse aller tellement c'est bon. - Vide toi ma salope. Alors je m'ouvre, il me bouffe le cul et ne perd pas une miette de tout le bon jus de male qui m'a rempli. Il récupère tout ce qui sort et me lèche la chatte. Il se relève, vient devant moi, m'attrape le visage, me relève délicatement et vient poser ses lèvres sur les miennes avec une délicatesse incroyable. Il vient partager avec moi. Me remplit la bouche dans un baiser incroyable. Il lâche ma bouche mais pas mon visage. Me fait un dernier baiser. - T'es vraiment une sacré chienne. Quand est-ce qu'on se revoit ? - Désolé, je suis pas du coin, juste de passage pour la soirée. - T'es à l'hôtel. - Non j'ai loué un RBn'B avec une collègue. Elle dors à l'heure qu'il est. - Je t'ai marqué à la pisse et au jus. Tu m'appartiens. Je vais garder tes fringues. Pour marquer ta dévotion, en plus de rentrer à poils, tu te laveras que demain matin. Faut que tu te rappelles de l'odeur du boss à qui tu es. Il est parti vers la voiture, a pris mon short et mon tee-shirt et il s'est barré. J'ai eu bien du mal à me relever, explosé de partout. J'ai repris ma voiture. Je suis revenu vers l'appart, en plein centre-ville cherchant la place discrète qui me permettrait de rentrer sans trop me montrer. J'ai croisé les flics qui heureusement n'ont pas vu mon état. J'ai réussi à me faufiler dans l'appart sans que personne ne me voit et suis allé direct au lit. Je me suis endormi comme une souche. Et le lendemain matin, je me suis levé le premier pour aller à la douche le premier et faire comme si de rien n'était avec la collègue. Pourtant, mes couilles et mon cul eux étaient bien marqués. Histoire vraie. Si tu te reconnais, j'aimerais te revoir.