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Le bizutage
Histoire gay publiée le 27/01/2022
Je venais de prendre mon poste dans une administration française, jeune insouciant et surtout a des kilomètres d'imaginer que mon bizutage allait être aussi pervers. Je suçais déjà plus de queues que la plupart de mes potes meufs et j'adorais ça. je suis typiquement le "bon mari en dehors de la maison et grosse cuve a jus au lit". Mon affectation a eu lieu dans un nouveau département que je ne connaissais pas, je me retrouvais pour la première fois catapulté au milieu d'une grande ville que je ne maitrisais pas. Le premier jour tout s'est bien passé, mon formateur m'a accueilli avec un grand sourire. Il était plutôt trapu mais son costume était incroyablement bien taillé ce qui mettait son paquet en valeur. il me présentait à toute l'équipe, composée essentiellement de femmes et quelques mecs qui avaient l'air de s'en foutre royalement de la jeune recrue. On passait par le bureau du chef de service qui lui se voyait bien plus intéressé par mon jeune âge : "je ne pensais pas qu'on recrutait à la sortie des lycées !" me disait il en me regardant de haut en bas. J'ai du lui répondre quelque chose du genre : "aha et bien euh oui" intimidé par sa place en plus de sa carrure. Mon formateur me montrait mon bureau, je commençais par m'installer et il m'expliqua les missions que j'allais devoir réaliser. "Par contre je préfère te prévenir, chez nous le bizutage c'est une institution ! On est bien loin des boites privées mais on se marre bien !" J'esquivais un sourire, plus soucieux d'appréhender mon métier que de me faire trainer dans tout le service avec un bonnet ridicule ou encore d'être préposé à la petite paperasse. "Bon, or plaisanterie, ça te dirait qu'on aille avaler des sodas et regarder le match de ce soir ? on est une bonne équipe à kiffer le foot et les sodas !" Et , les deux seules choses que je déteste le plus. mais j'acceptais sans broncher car sans ça, je serais rentré chez moi, diner, branlette et dodo. quitte à s'der, autant être bourré ! à la fin de la journée, le chef de service ainsi que 2 autres collègues débarquèrent dans mon bureau avec des écharpes de leurs équipes en beuglant comme des sauvages.. ça promet ! je coupe l'ordi prépare mes affaires et monte dans la voiture. putain le chef de service se met bien ! un belle sportive, dernier cri et toutes options, en plus elle sent le neuf ! On arrive dans un genre de champs, isolé et je vous avoue que je commence à me pisser dessus, finalement peut être que le bizutage sera plus hard que ce que je pensais. On arrive dans une demeure (oui oui une demeure) j'hallucine complètement, je pensais avoir un grand appart mais putain j'étais sur le cul. Il nous emmène dans le salon, la télé faisait certainement la taille de mon couloir avec un canapé digne d'une téléréalité avec une table basse-frigo intégré ! On s'installe et je commence à m'enfiler limonade sur limonade afin que cette soirée passe plus vite. très vite, l' monte et je me sens plus attiré par le paquet de mon formateur que par le match. putain si là il est au repos, qu'est ce que ça doit être quand il bande ! petit a petit une se dessinait sous mon pantalon. avant qu'elle ne devienne trop voyante, je demande à mon chef où sont les toilettes, prétextant que la limonade demande à sortir plus vite que prévu. Il me répond que les nouveaux arrivant ont pas le droit de pisser, ça nous éduque parait il. je reste sans rien dire, pensant que c'était une blague mais personne ne releva et ils restaient tous focus sur leur match. je reposa ma question et mon formateur me dit : "je crois que tu as mal compris, tu es nouveau et il faut qu'on t'éduque, alors ta gueule et bois" j'aime les mots crus au lit et ceux-ci ne passait pas par la case cerveaux mais directement dans mon caleçon. "putain c'est fou, je pensais pas qu'il était PD celui là !" Le monde s'écroulait, je me retrouvais autour de 4 males sous , fan de foot et probablement casseur de pd. ma queue qui commençait à s'exciter se calma direct et pour faire passer la pillule je me repris une limonade et la finissait d'un coup, tout en me remettant dans le match. "je t'ai vu matté mon paquet tout à l'heure, tu kiffs ?" me demandait mon formateur. j'essayais de lui répondre de la manière la plus naturelle qui soit : "a vrai dire tu avais ta braguette ouverte ce matin" il se retournait vers les collègues avec un sourire aux lèvres puis me dit : "ah c'est étrange, je ne parlais pas de ce matin" un fois de plus, descente d'organe. putain je suis vraiment un trou d'cul la prochaine fois ferme ta gueule. "Tu sais comment on test nos nouvelles recrues chez nous ?" me demandait mon chef de service. "En fonction de ce qu'ils encaissent" les collègues commençait à se toucher le paquet. "nos femmes sont.. Traditionnelles, et nos queues ont de gros besoins. Tu es intéressé par la bite et tu as l'air d'être docile et obéissant. je pense qu'on peut trouver une solution à ce problème non ? L' faisant de plus en plus effet, je commençais à être excité par cette situation. ni une ni deux je me déshabillais et me mis à genoux, attendant les ordres. "ah oui, éduquée en plus, et bien, voyons ce que tu encaisses" Ils se levèrent tous et mon formateur sorti sa queue, finalement le paquet était plus impressionnant que le contenu mais il commençait fort. ma gorge mis quelques allers-retours avant de s'adapter et une fois le passage fait, c'est un des autre collègues qui vient me baiser la gorge, puis l'autre pour finir par le chef de service, qui avait la plus grosse. étrangement, le passage était fait comme s'il y avait une hierarchie, les plus petites bites font le passage pour celle du male alpha. et putain ce monstre qu'il avait, malgré que le passage est été ouvert par les autres, il eu du mal à me pillonner la gueule, ma gorge refusait de la faire passer. Sans un mot, mon formateur apporta une bouteille de poppers et me la colla sous le nez. Je respirais plusieurs bouffées mais il me la laissa sous le pif. je commencais à partir en arrière quand il la retira. je sentis des mains entourer ma tête et les va et vient commençaient. je pouvais la sentir aller jusqu'au fond de ma gorge, il me pillonnait jusqu'à ce que je dégueule sur sa queue. confus je m'excusais. Il me colla une gifle. "putain, pas si bien éduquée que ça en fait salope mon tapis à 10 000 boules !" Je voyais qu'ils se se rhabillaient tous. j'étais encore étourdi par le mélange manque d'air/poppers/baise buccale. Il me prit par les tétons et me releva ainsi. "j'avais beaucoup d'espoir en toi, je suis déçu, dommage, j'aurais voulu t'emmener dans ma cave. Baptiste, ramène le." Mon formateur me passait mes affaires je me rhabillais et sans que j'ai pu remarqué quoi que ce soit j'étais dehors, à moitié à poil et toujours une putain d'envie de pisser. "T'inquiète pas, tu y auras droit, comme nous tous. il aime juste faire monter l'excitation pour que tu lui sois dévoué. D'ailleurs, tu es le seul à ne pas t'être pissé dessus quand il ta baisé la gueule, je pense qu'il n'a pas dû apprécié. fais gaffe, il peut être très pervers quand il n'obtient pas ce qu'il veut".