Histoires de sexe

Ça faisait presque 10 ans que je ne l’avais pas revu. Vincent. Nous étions meilleurs potes en primaire. On a passé des jours, et des heures à jouer à la console. Je n’avais pas conscience de mon homosexualité mais j’avoue que j’avais un petit truc pour lui. J’ai aujourd’hui 23 ans et je suis une vraie petite chienne soumise. Je suis vraiment accro à la queue ! Alors que je faisais les courses tranquillement, je tombais sur le visage d’un homme qui m’était familier. Avec le masque c’est forcément plus compliqué. C’était Vincent, il n’avait pas changé, en tout cas, ces yeux n’avaient pas changé ! d’un bleu électrique avec des nuances vertes. Des yeux à en devenir aveugle ! - « Vincent ? mais qu’est ce que tu fous là ? » - « Tiens David ! bah je fais mes courses ! alors que deviens-tu ? » On échangeait sur nos vies quand il reçu un appel, ce qui annonçait la fin de notre conversation et nous reprenions chacun nos courses. Alors que je trainais sur un site de rencontre spécial fétichiste quand un profil apparait. Il s’agissait de celui de Vincent. Sur le moment j’ai ris, et j’ai commencé à regarder son profil. « Salut bande de salope, je ne suis pas ici pour me marier ou me faire des potes, je veux abattre de la lope. Je suis domi vicieux. Tu encaisses et tu fermes ta gueule. » Son profil possédait trois photos, une torse nu qui laissait apparaitre sa musculature imposante et une toison des plus virile. La deuxième est une photo de tous les accessoires qu’il possédait et la troisième la photo de sa « pièce rouge ». Je n’avais qu’une envie, me soumettre. Au même moment, je reçois un message. « Je ne savais pas que tu étais une lopette ! voilà mon adresse je t’attends et ne traine pas. » Ma queue mouillait déjà. J’enfilais un jock strap en latex pour bien faire petasse et je me rendais chez lui. J’entrais dans le bâtiment avec la forte intention de me faire peter. J’appuyais sur le bouton de l’ascenseur quand la porte s’ouvrait. Il était là, habillé entièrement en latex. Chaque muscle était sculpté à même le latex c’était putain de chaud. Il m’invitait à entrer. Quand les portes se sont refermées il m’a ordonné de lui sniffer le paquet. Une odeur de mâle s’en dégageait et j’étais aux anges ! Quand l’ascenseur s’arrêtai, il me releva en me tirant les cheveux et me crachait sur la gueule. Je le suivais jusqu’à son appartement. A peine la porte fermée, j’étais à genoux prêt à encaisser sa queue. Il commençait par me faire bouffer et sniffer mon paquet. Il sorti sa queue et m’empalait la gueule sur lui. J’ai l’habitude des gorges profondes, je restais donc là et je sentais sa queue grossir. Plus elle grossissait, plus il m’enfonçait sa tête sur sa queue. Elle prenait de plus en plus de place et ça me rendait fou ! elle était énorme ! je commençais à m’éssouffler alors il se retirait et me collait une bonne gifle. « Espèce de petasse ! encaisse d’accord ? » Il me limait la gueule de plus belle ! il considérait ma gueule comme une vraie chatte à limer ! je mouillais dans mon jock. Il arrêtait ces vas et vient et il me rebloquait la tête pour que j’ai bien sa queue dans ma gorge quand je sentais un liquide chaud me remplir. Il m’utilisait comme urinoir ! ça ne passait même pas par ma bouche, direct dans la gorge ! « OUAIS putain tu vas être un bon urinoir toi ! » Je sentais mon cul s’ouvrir au fur et à mesure et je me mis à quatre pattes. Il baissait mon jogging pour pouvoir accéder à mon trou. « Tiens un accès direct ! de mieux en mieux ! » Il commençait à me doigter tout en me pinant la gueule. Mon cul s’ouvrait si facilement qu’il a pu insérer 3 de ces doigts directs ! je gémissais comme une vraie chienne ! à chaque gémissement, il me doigtait plus rudement. « Je ne vais pas m’arrêter là, suis-moi. » Il me prit par les cheveux et m’emmenait dans sa chambre rouge. Putain je croyais que c’était une photo prise d’internet mais non ! il est bien équipé et je vais prendre cher !