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La petite petasse à jus parisienne - 2
Histoire gay publiée le 29/12/2020
La petite petasse à jus parisienne que je suis espère bien se faire loper une nouvelle fois par le mec à la "bite dispo" situé par miracle à 600 mètres de ma maison natale. Il m'a bourré la gueule au matin du 24, comme j'ai raconté, et j'espère bien reprendre une dose après le réveillon ou le lendemain matin. Mais pas de nouvelles de lui, malgré mes relances de petasse assoiffée. Je vais donc au déjeuner familial du 25 d'un pas traînant... Cette année, Covid oblige, on a découpé les retrouvailles familiales en séances en petit comité, et ce midi on va chez une tante par alliance, qu'on voit rarement. Il y a là son jeune homme d'un premier lit, que je ne connais pas. Il me salue sans mot dire, mais a l'air tout content de me voir, si j'en juge par son sourire radieux. Je vais à la cuisine pour aider, et là dans le couloir, le cousin me rentre un doigt dans le cul à travers mon pantalon moulant, en murmurant à l'oreille "alors comme ça, t'es ma petite cousine?". Je reconnais sa voix : purée, c'est le voisin à qui qui j'ai servi de pompe à sperme dans la pénombre trois fois depuis mon arrivée dans le village pour les fêtes! A son petit air pervers, je comprends que je vais prendre cher. Il me pousse dans la remise et sort un dog tail plug qu'il badigeonne de graisse de canard. "Baisse ton froc", ordonne-t-il avant de me l'enfiler dans le cul. C'est pas long, mais ça dilate bien, et surtout, je ne peux pas m'asseoir sans l'enfoncer et avoir envie de pousser des petits couinements. Tout le monde sait dans la famille que je suis pédé, mais j'essaie de me tenir bien quand même, donc je ne m'assieds presque pas. Mon cousin à côté de moi chuchote "mais t'as le feu au cul ma parole", et plus fort, alors que finit l'apéro, "viens m'aider à préparer la dinde fourrée". Je suis obligé de le suivre, il me pousse dans les chiottes, me met à genoux et au lieu de limer la gorge comme j'avais prévu, il me pisse dans la bouche. J'avale bien tout pour pas me salir. On retourne manger, je picore le plat principal car j'ai déjà compris qu'il faut mieux rester le ventre vide pour encaisser la suite, qui me fournira de toutes façons des protéines. "Viens m'aider pour le fromage cousin", me dit mon voisin de table, qui me tape sur le cul dès qu'on est hors de portée de regard. Cette fois, il me pousse dans une chambre, et me dit : "on est pressés, je te déglingue tout de suite la gueule et on y retourne". Il imprime des mouvements de va-et-vient très larges, du gland aux couilles, en restant bien longtemps au fond à chaque fois. C'est facile pour lui, j'ai les cheveux mi-longs, et c'est très pratique pour diriger ma tête (je recommande les cheveux longs pour les pédales comme moi, ça plaît beaucoup aux vrais mâles hétéro-bi-machos). Les protéines bien larguées dans le gosier, je retourne à la table avec le plateau de fromage. "T'en veux encore ou t'en as eu assez?", ricane le cousin en me faisant passant le roquefort sous le nez (purée, je sais pas comment les autres comprennent pas les allusions, il m'humilie à toutes occasions). Après le dessert, chacun sort pour prendre l'air. Il me dit : "tu vas dans la grande, et tu m'attends". C'est vraiment sombre, il y a de la paille, j'y jette le dog tail plug qui ne me fait plus d'effet depuis une heure au moins. Soudain des bras puissants me saisissent par derrière et me mettent à genoux. C'est pas mon lopeur, je l'aurais reconnu. Le corps est massif, la bite épaisse mais pas très longue (heureusement que le plug a bien ouvert ma chatte). Je ne vois pas qui c'est, mais mon "cousin" (qui arrive par devant et me fourre la gueule en sandwich) m'explique qu'il a invité un pote pour le café. Je me fais limer et fesser sans piper, il m'explique que tout le monde est dans le jardin, et que si je suis sage, ce sera tous les Noël comme ça.