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Petite petasse à jus de retour dans son village natal - 1
Histoire gay publiée le 28/12/2020
Petite petasse à jus parisienne de retour pour Noël dans mon village natal, je me suis mis au service de la bite d'un voisin à moins de 600 mètres de chez moi. Il vit seul apparemment, et j'espère bien pouvoir me faire loper encore une ou deux fois avant de repartir. J'ai bien fait comprendre que j'étais dispo, je laisse un message avec les horaires où je pourrai me libérer le 24 décembre. Je me connecte sur le chat très tôt le matin, il est là mais me fait lanterner (sa bite me met en son pouvoir, il en profite). Au bout d'une heure, il me sonne. La fois précédente, j'avais pas pu me déshabiller. Comme il fait chaud et que je cours vite, je pars en short sans slip le rejoindre. Mon cul sera plus accessible, ma bite sera moins congestionnée, bref, ça m'a paru la bonne option pour une séance express où je serai juste la chienne du mec du coin. Bingo, il voit tout de suite quel parti tirer de mes dispositions. "Reste à quatre pattes et tortille du cul, petite chienne, tu vas prendre cher, et puis faut mériter le nonosse", rigole-t-il. Je dois le lécher des pieds à l'entrejambe, que je finis par laper comme un petit chiot qui frétille. Les autres fois, il était couché sur le dos ou à l'envers au dessus de moi, cette fois, il me lime la gueule debout, ce qui est presque douloureux (l'angle de sa queue bute sur le haut du palais), mais bien excitant (je n'ai rien à faire, sauf à encaisser). C'est bon parce qu'il me parle en même temps. On fantasme toujours sur les grosses bites (et je les aime autant que tout le monde), mais je suis aussi sensible aux grosses voix. Au téléphone, quiconque me dit "chienne, viens t'empaler" avec une voix grave et autoritaire, même sans photo ni description, je bande et je traverse la ville pour le rejoindre (avis aux amateurs, lol). Bref, me voilà adossé au mur, à encaisser les coups de butoir d'un mec qui murmure des "ouais c'est bon", des "t'es une bonne chienne", "putain les mecs à Paris, de vraies pédales", "t'es ma petasse, tu viens quand je veux", etc. Il voit bien que j'ai pas de slip, il baisse mon short et commencer à fesser. J'en peux plus de tortiller, je jouis sans me toucher. Juste quelques gouttes (je me suis branlé avant de venir) qui salissent quand même le tapis. "Eh non mais, je vais te faire la même chose ma salope", et là il me fait une faciale assez épaisse, qui dégouline sur mon pull et mon t-shirt. Comme il me congédie sans me laisser passer par la salle de bain, je m'essuie comme je peux sur le chemin du retour. J'étale son jus sur mes cheveux, je retourne le t-shirt (du coup, le jus coule et colle à mon ventre), et je mets sur le pull devant-derrière. A l'arrivée à la maison, où tout le monde prend son petit déjeuner, j'ai un air très gominé. Heureusement qu'avec le covid-19 on ne s'approche plus trop les uns des autres, même en famille, je sens le jus chaud à 2 mètres