Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

L'homme d'affaires 2
Histoire gay publiée le 02/04/2019
Après avoir sucé à fond et fait jouir mon client black, j'avais donc avalé du jus crémeux pour la première fois. Mon maître black me donna une bonne gifle pour toute récompense. Il me demanda mon téléphone personnel et m'ordonna d'aller me rassoir à l'avant du van afin de le conduire à son hôtel. Je vis qu'il consultant mon téléphone avec un petit sourire aux lèvres. J'avais encore le goût de son sperme dans la bouche. Il m'avait interdit de me rincer la bouche. Les lopettes dans ton genre sont de vraies putes et les putes obéissent à leur maître. Arrivés devant le palace, il descendit et me dit de monter moi même ses quatre grosses valises dans la suite. Le voiturier alla garer le van dans le parking. Arrivé dans la suite, je vis mon MAÎTRE assis dans un canapé en train de avaler une limonade bien fraîche. J'avais eu chaud à transporter les lourdes valises. Je lui demandais si je pouvais avaler quelque chose. Il éclata de rire. Va me faire couler un bain et déshabille toi. Je m'executai. Nu devant lui, il m'examina de la tête aux pieds, me fit tourner sur moi même. A quatre pattes maintenant ! me dit-il. Approche ! Je sentis ses deux mains sur mes fesses. Il les écartait en m'injuriant. Il voulait juste constater que mon petit trou était bien serré et vierge. Ce que je lui confirma. J'avais oublié de finir ma phrase par maître, ce qui me valut une claque énorme sur le cul. Me faisant écarter les cuisses, je sentis sa grosse main me prendre les couilles, les malaxer et puis les broyer sans aucune pitié. Je hurlai et me tordai de douleur. Ta gueule, tu vas alerter tout le monde. Il me dit d'aller dans la salle de bains à quatre pattes et de l'attendre à genoux dans la douche. Nu, il me rejoignit. Je m'attendais à devoir encore le sucer. Il avait un corps musclé splendide et sa bite, même au repos, était impressionnante. «Ce que je vais faire est le signe de ton appartenance totale à ma personne et de ta condition d'esclave. Es-tu d'accord ? » Je déglutis et dis une petit oui. « Plus fort chienne de salope ! » Oui MAÎTRE ! «Ouvre la bouche bien grand». Il prit sa grosse queue dans la main et commença à me pisser dans la bouche. Sa pisse était tiède. J'avalais sans rien dire. Des larmes coulaient sur mon visage. Il termina de pousser sur mon visage et sur mon torse. Je lui appartenais vraiment. Je me faisais honte mais au fond de moi j'étais heureux de ma condition d'esclave. Je m'étais bien branlé en fantasmant sur cela ou quand je marchais le cul et la chatte de mon ex femme. Je lui léchais la queue et les couilles avec gourmandise. Il alla dans son bain. Il m'ordonna de ranger ses habits et de signer les papiers qu'il avait préparés sur le bureau de la chambre. Je rangeais tous les vêtements et les chaussures avec grand soin pour éviter une nouvelle punition. Mes couilles me faisaient encore mal. Pendant que je rangeais, je n'arrêtait pas de penser à quel moment et de quelle manière il allait m'enculer. Comment sa queue de 25 cm et très épaisse allait-elle pénétrer mon petit trou ultra serré et vierge ? Je n'avais jusque là été pénétré que par un ou deux doigts par mon ex femme. Elle aimait me doigter et me disait que je finirais comme une fiotte, une petite lopette, un pd... Ça l'excitait de m'humilier. Mais j'aimais ça. Je signais les papiers. C'était un contrat d'appartenance totale à mon MAÎTRE. Appartenance sexuelle, physique, financière, morale et psychologique. Je ne pourrais rien refuser et ne pourrais jamais recouvrer ma liberté sans son accord. J'acceptais même d'être photographié et filmé. Les photos et les vidéos pourraient même être commercialisées et diffusées sur Internet. Je signais tout avec une grosse boule au ventre... et quand même beaucoup d'excitation. Mon MAÎTRE black m'appelait pour venir le laver... lui nettoyer les fesses... avec ma bouche et ma langue... hum. Il se leva dans la baignoire et me tourna le dos. Il se penchait en avant. A genoux, j'avais la tête au niveau de son cul. Un cul magnifique, très musclé, dur comment de la pierre. Je commençais à lécher les fesses, à passer ma langue sur la raie, faisant des va et vient de haut en bas. J'avais peur de mal faire... Fallait-il que j'écarte ses fesses pour lécher l'anus ? Je n'osais pas. C'est mon MAÎTRE qui me le demanda. Ses fesses étaient tellement musclées que je dus mettre un pouce de chaque côté et écarter bien fort pour que ma langue ait accès à l'intérieur de son sillon et à son anus. Il me dit que ma langue ne devait pas essayer de pénétrer son trou, que lui n'était pas une fiotte. Je faisais du mieux que je pouvais. Ma langue chaude et humide s'activait à fond. J'ai toujours aimé bouffer du cul... depuis mon adolescence. A ma grande surprise, mon MAÎTRE gémissant. Il aimait ça. Il m'insultait, il se tablait. Je continuais à lui bouffer le cul, faisant tourner ma langue sur son trou. Mais, pendant un court moment, je la rentrais légèrement plus profond. Mon MAÎTRE râlant de plaisir se mit à accélérer. Il se retourna, me saisit les cheveux et lâchant tout son jus sur ma gueule de lopette jouit à mort. Ma récompense fut dix coups de ceinture sur mon cul pour avoir osé rentrer ma langue dans son trou...