Histoires de sexe

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Cette fois, c'est pour moi!
Histoire gay publiée le 14/11/2014
Je rentrais du boulot, mais ayant raté le dernier train de banlieue, je marchais rapidement et par moment, je courais pour ne pas arriver excessivement tard. Je décidais de traverser par les cités, pour couper au plus court. Mais un mec blanc, blond, en survêt blanc et baskets neuves qui court à trois heures du matin,se fait immédiatement remarquer. Passant devant une entrée d'immeuble,je me fais interpeller par un lascar qui me dit,joli tes pompes ,elles me plairaient bien. Moi,avec ma grande gueule, si j'étais une petasse,je te filerais tout,mais c'est pas le cas,salut! Je repartis, mais je n'avais pas vu ses copains planqués à quelque mètres de là, qui ont tout entendu et décidèrent de me choper. j'ai pris un coup direct aux couilles, qui m'a mis à genoux. Ils me prirent les bras et me firent entrer dans un hall d'immeuble et me descendirent direct à la cave qui était encombré d'objets hétéroclites,mais qui était de toute évidence leur coin préféré. Le gars a qui j'avais parlé descendit tranquillement et me dit c'est gentil de vouloir devenir petasse,et la dessus il me colla une grande baffe. Dessape-toi. Je refusais, mais je sentis soudain une douleur me zébrer le dos,chacun des ses trois acolytes me frappaient avec des ceinturons en cuir et ils n'y allaient pas de main morte. Ils continuèrent et je dus me déshabiller et tant que j'avais un vêtement les coups pleuvaient. Une fois nu, ils m'examinèrent et le chef dit, putain! c'est un vrai blond,on va se régaler. Met toi à genoux, on va régler tes formalités de petasse. Je me mis à genoux et sur un signe du chef, l'un d'eux sortit une tondeuse et me rasa le crâne,l'autre vint avec son coupe-choux et finit de me raser à blanc.Le chef en rigolant, alors le cefran t'est bien blanc, mais rassure toi, pas assez t'as trop de poils blonds partout. Je suis alors empoigné les poignets attachés, et accroché sur un des crochets de support vélo. Je prends alors un seau sur le corps,suis savonné pour être entièrement rasé avec le coupe-choux. Je ne bouge pas sachant que le moindre mouvement de ma part se traduirait par une coupure. en moins de dix minutes,je n'ais plus un poil,tout y a passé, bras, aisselles, torse, dos, jambes et le meilleur pour la fin, enduit à la mousse à raser mes couilles et mon cul. Le chef pendant ce temps là, buvait une limonade avec délectation. Bon mon petit gars, maintenant on va voir ce que tu vaut. Ils me détachèrent les mains pour me les renouer dans le dos,et m'attachèrent ainsi bras relevés en arrière présentant ainsi mon petit cul. mais ce n'était pas assez, je dus à coups de ceinturon bien écarter les jambes. Oh! mais c'est qu'il a de jolies bourses bien pendantes. Attache les lui et trouve lui un balancier.je fus aussitôt ficelé aux bourses et mon balancier était une bouteille d'eau minérale rempli d'urine. Bien passons à ton éducation de petasse. Il se déculotta me présenta son sexe que je dus sucer en commençant par lécher les boules,remonter progressivement lécher la hampe puis lécher le bout et enfourner cette tige qui manquait de m'éssouffler à tout instant. Il passa ensuite derrière moi, me cracha sur la raie et poussa sa bite contre mon fion. Mon trou résista un peu, puis la bite pénétra d'un coup m'arrachant un cri de douleur faisant rire tout le monde. Il m'empala avec des va et vient profonds, j'entendais ses couilles claquer sur mon cul. mes couilles souffraient car le balancier s'activait et me tirait encore plus. Pendant ce temps, l'un deux me présenta sa bite à sucer, ce que je fis tant bien que mal. Le chef après un dernier coup rageur me remplit de sa semence et je sentais cette sperme chaude sur moi. Il me fit lécher sa bite souillée pendant que l'autre prenait sa place. Il s'assit ensuite pendant que ses copains faisaient la même chose. Cela à duré un bon moment, ils étaient tous endurant. Lorsque le dernier fut passé et que mon corps dégoulinait, le chef se rapprocha, décrocha la bouteille d'urine, m'obligea à en avaler une partie et me versa le reste sur la tête puis ils se mirent tous d'un côté et me pissèrent dessus. Ils regardèrent mes vêtements et se les partagèrent. le chef me demanda de regarder et me dit, certains de tes vêtements vont à mes potes, ont va donc faire un échange standard. Mais comme tu est devenu petasse ont va faire une petite modif. Sur le pantalon dont j'héritais,il coupa le fond sur la raie du cul. Ton shorty est bien, Je le garde, on est gentil on te laisse un pantalon, de vieilles baskets et mon copain son maillot de corps,je l'ai juste un peu modifié ça serait dommage de ne pas voir tes beaux tétons. IL coupa la corde qui maintenait mes bras en arrière, et m'ordonna de m'habiller tout de suite et de foutre le camp. Je me sauvais en vitesse, le jour commençait à poindre et heureusement un brouillard se levait, car les trois kilomètres restant à faire risquait fort de pas passer inaperçu. Les premiers badauds partant à leur travail ne manquaient pas de remarquer un homme si peu habillé. Tout en me dépêchant, malgré l'odeur que je dégageait,je sentais couler le sperme le long de mes jambes. Une fois rentré,je pris une bonne douche intérieure,extérieure et fus surpris par le ruissellement de l'eau qui glissait sur mon corps.