Ca ne devait être qu'une soirée gay sexy... Des go go boys font le show sur scène, en cuir et en harnais. Face à leur corps sculptural, les mâles de la salle se sentent chaud et voilà que se lancent des roulages de pelles fiévreux et que les mecs se lâchent. Ici c'est pas grave si on déborde et si on commence à sortir sa bite. Pris dans une spirale de sexe, le bar se transforme en lieu de touze géante où les bouches les plus dociles vont aller bouffer de la bite à la chaine. Certains regardent, beaucoup participent et les étalons enculent à fond, limant comme des barbares et déchargant leur foutre sur les culs offerts.
Ils ont rêve de cet instant et ils l'ont bien préparé. Tous ces mâles approchant la quarantaine ont passé des mois à la salle de sport à se sculpter pour avoir le corps parfait et le cul bien rebondi. Superbement taillés, ils sont à tomber de virilité dans leur tenue fetish cuir. Un régal pour les yeux et le moment tant attendu de se déployer : une orgie entre bonhommes, sans tabous. De la suce à volonté et du pétage de fion de mâle sans retenue. Les gémissements sont gras et les regards ne trompent pas : ces types là veulent de l'enculade, du fourrage animal et ils vont se taper dedans jusqu'à ce que tout sorte.
Voilà maintenant deux semaines que ce soumis est enfermé dans une grande cage par son maître. C'est peu dire qu'il s'ennuie et pour faire son intéressant devant son boss qui vient d'arriver, il se lance dans une chorégraphie ! La petite chienne veut faire sa starlette ? Elle a cru qu'elle était au cirque ? Le boss termine son cigare et décide de s'occuper d'une main ferme de cet esclave qui a clairement besoin d'être recadré. Il est temps que sa bouche et son cul se prennent une piqure de rappel ! On pompe le patron et on ré-apprend qu'il n'y a que son bon plaisir qui compte. Work bitch !
Il a tout lâché pour vivre son rêve et devenir une petite chienne. Plus de boulot, plus de famille, plus d'amis : le minet imberbe et sec a signé son contrat d'appartenance et est désormais la propriété d'un master sévère et sans scrupule. Ce dernier l'a enfermé dans son donjon, le foutant à poil et le revêtant d'accessoires fetish cuir. Dans sa cage, le soumis ne vit plus que dans l'attente d'un nouveau coup de bite de son Maître. Alors quand le boss se présente, il ne tient plus : il suce à fond, se rassasie et tend son cul pour se faire fourrer et prendre la dose de teub qu'il a besoin. Le plaisir de défoncer de la bonne chienne formatée.
Le donjon est caché. Il est convoité par toutes les grosses lopes. Mais pour avoir l'adresse, il faut remplir quelques conditions : les tepus se doivent d'être biens faites. Au sport tu iras pour avoir le corps que les maitres attendent de toi. Il faut ensuite avoir le bon look : ici on aime les chiennasses en cuir, qui portent bien le harnais. Enfin, il faut signer le contrat, accepter de se donner, se lâcher et ne poser aucune question. Ceux qui sont retenus pénètrent dans ce lieu de dépravation et peuvent laisser libre cours à leurs pulsions les plus dark. Trouage sur sling, triolisme, saucage copieux de foutre de boss. On prend, on mate, on se mélange, on fait la petasse. On kiffe quoi.
Un bar cuir, lieu de domination et d'obéissance. Maîtres et esclaves vêtus de cuir laissent éclater leur sens animal et vous entraînent dans un voyage au bout de leurs phantasmes. 100 mn d'extrême action?
