La quarantaine virile, baraqué, ce grand colosse flic va consulter un psy pour parler de son addiction… à la bite. Il n’y peut rien : quand il voit un mec, il a besoin de s’occuper de sa queue et de baiser avec. Alors qu’il partage son problème au spécialiste, il le supplie de lui montrer son zob. Le psy résiste dans un premier temps mais face à l’acharnement du flic, il finit par se livrer avec lui à des jeux érotiques troublants. Les deux hommes vont se masturber, se sucer et jouir comme jamais. Il y a des addictions plus jouissives que d’autres.

Il y en a qui préfèrent mettre leur bite dans des petites crevettes. Mais il y en a aussi qui adorent fourrer des grands mâles baraqués. C’est si bon de voir ces armoires à glace, ces brutes qui paradent, subitement écarter les jambes et se soumettre. Un jeune métisse prend le dessus sur un grand mâle viril tatoué et il surkiffe : les râles de plaisir du gars quand il se fait sodomiser sont si excitants ! Et plus il s’en prend, plus il se lâche et réclame la pine. Il veut se faire cracher dessus, il va avoir ce qu’il mérite.

Clap final pour la suite de Barcelona Mon Amour. Dans cette dernière scène, le piège de Roxas & John se referme sur Bony. Attrapé, soumis et baisé par l'agent russe Dmitry qui avec sa grosse queue bien juteuse, va soumettre Bony comme un chienne dans les coulisses du BoyBerry de Madrid. Bienvenu à Madrid, Bony et bon voyage en enfer !

Cet ouvrier viril et bogosse a toujours été passif et assume grave. Il sait qu'il a tout pour lui : une gueule de mâle, de l'assurance, un corps bien fait, un cul qui encaisse comme personne et une énorme teub qu'il se plait à bien astiquer pendant que les gars qu'il chauffe l'enculent à donf. Aujourd'hui il chauffe un passant qui ne résiste pas à l'appel d'une baise chaude avec un passif plein d'assurance qui prend les devants. Voilà ce qu'est un pur passif actif, insatiable, qui pousse les enculeurs à donner le meilleur d'eux-mêmes et à prouver qu'ils savent fourrer du cul. Une éclate bien hard et 100% mâle. IVAN ALONSO ET CHRISTIAN WILDE